Tout va bien pour Marc Jacobs après avoir quitté Louis Vuitton
Souvenez-vous, le 02 octobre dernier, Marc Jacobs faisait une annonce qui souleva le monde de la monde.
Le styliste annonçait qu’il quittait officiellement la maison de luxe Louis Vuitton. Le créateur New Yorkais en était le directeur artistique depuis 1997. La marque française avait annoncé désirer un mouvement de renouveau, notamment en Chine. De plus, la célèbre marque voudrait monter en gamme de luxe à travers les mains d’un tout nouveau styliste, qui, comme vous le savez est Nicolas Ghesquière. Depuis son départ, Marc Jacobs s’est récemment confié au magazine féminin ELLE US dans une interview exclusive.
Dans un premier temps, le styliste américain de 50 ans annonce qu’il va bien. Il confirme ensuite au magazine qu’avec son habituel et fidèle partenaire financier, Robert Duffy, tout se passe bien. Marc Jacobs possède en effet sa propre marque qui appartient au groupe LVMH. Son désir et son but seraient une prochaine entrée en bourse de son enseigne “Marc Jacobs”. Une annonce qui sera probablement réalisée d’ici quelques années. Le styliste commente :
Si j’allais mal je serai le premier à le dire. Je suis incapable de cacher mes sentiments. Je suis très ouvert.
Quant à son avenir, le créateur américain avoue au magazine désirer demeurer dans la capitale parisienne, pour au moins une partie de l’année 2014. Marc Jacobs annonce vouloir se consacrer d’avantage aux accessoires comme les paires de chaussures ainsi que les sacs. Il souhaiterait également se concentrer plus sur sa toute nouvelle collaboration avec la marque de cosmétiques Séphora. Surprise car la fameuse collection ne sera disponible qu’en 2014.
J’ai cette attitude d’être cet étranger à Paris. New York est très réel pour moi, c’est là où j’ai grandi, c’est là que sont mes amis, c’est là que je me sens le plus à l’aise. À Paris, je me suis créé une bulle, j’ai toujours vu Paris de la façon dont je voulais que ce soit. Je vis ici comme dans une bulle. Je n’ai pas besoin de savoir ce qui passe en politique, en économie, je vois juste ce que je veux voir.