Le mannequinat, une activité difficile pour Miranda Kerr, elle apprend à surmonter les refus
Le top-model australien Miranda Kerr a livré ses impressions sur le métier aux jeunes mannequins.
Elle affirme notamment que c’est un dur métier où ils seront confrontés à des rejets. Parole d’une professionnelle qui bataillait pour arriver au top.
Les difficultés du mannequinat
Devenir égérie d’une griffe célèbre ne se fait pas du jour au lendemain. Etre belle et remarquée par les photographes de mode et les agences de model n’est que le début, après il faut travailler pour so-trendy.fr/post/840/astuce-forme-de-miranda-kerr”>garder la ligne, so-trendy.fr/post/36379/miranda-kerr-tout-decollete-dehors-sa-danse-sexy-avec-thomas-thouroude”>soigner son image, se conformer aux exigences du métier.
Pour elle, le plus dur a été d’accepter le rejet à ses débuts. Aujourd’hui c’est bien plus facile et elle enchaîne les contrats même si elle travaille dur pour continuer à être au top.
En plus, la plupart des mannequins se contentent seulement de défiler quand ils arrivent à signer un contrat. Rares sont celles qui font la couverture des grands magazines et pour lesquelles les maisons de haute couture rivalisent d’effort financier afin de les engager chez eux.
La carrière de Miranda Kerr
Premier contrat à 14 ans, Ange de Victoria’s Secret à 24 ans, 9ème mannequin le mieux payé du monde à 27 ans puis 7ème selon Forbes à 28 ans et élue femme la plus sexy du monde à 29 ans par Esquire. Autant dire que celle qui a représenté Billabong, Mango, Maybelline, Lanvin, Balenciaga, Prada, Chanel et Dior entre autres possède une carrière bien remplie. Pour son 30ème année en 2013, sa carrière a continué de faire son ascension au point d’être classée so-trendy.fr/post/18892/elle-est-le-top-model-le-mieux-paye-en-2013″>2ème mannequin la mieux payéé par Forbes. Un parcours qui résulte du travail et de la détermination.