Lou De Laâge, une étoile montante du cinéma français
Pour le jour de ses 25 ans et à l’occasion de la sortie en salles du film Le Tournoi mercredi prochain, retour sur la jeune carrière de l’actrice montante Lou de Laâge.
Élodie Namer a fait appel à la jeune femme pour interpréter le rôle de Lou, la petite-amie de Cal, champion de France d’échecs. Dans un monde encore peu exploité et peu connu, la réalisatrice met en scène les dérives et la concurrence permanente des jeux d’échecs, dont la jeune Lou en fait partie.
Lou De Laâge est de nouveau au cinéma cette année, dans un rôle simple d’apparence mais tout de même complexe. A seulement 25 ans, la jeune femme compte désormais de nombreux films. Elle s’est notamment fait connaitre dans le film de Frédéric Louf : J’aime regarder les filles. Le visage de Lou De Laâge n’était alors pas connu du grand public tout comme celui de ses partenaires, tels que Pierre Niney. Néanmoins, le succès lui est venu lorsqu’elle a joué dans Jappeloup, un film dramatique français réalisé par Christian Duguay sorti en 2013. Lou De Laâge incarnait le rôle de Raphaëlle, la jeune femme en charge de s’occuper du cheval de Pierre Durand, joué par Guillaume Canet. Un rôle qui l’a emmené jusqu’aux César où elle était nominée dans la catégorie Meilleur espoir féminin.
A partir de là, la jeune femme a poursuivi sa carrière dans le cinéma ainsi qu’au théâtre. Dans Des gens qui s’embrassent de Danièle Thompson, Lou De Laâge partageait l’affiche auprès de Kad Merad ainsi que Monica Bellucci. En 2014, l’actrice et réalisatrice Mélanie Laurent a fait appel à elle afin d’endosser le rôle de la manipulatrice Sarah dans Respire. La jeune actrice s’est alors vue monter les marches du Festival de Cannes 2014 ainsi qu’une nouvelle fois nominée pour le Meilleur espoir féminin aux César, aux cotés de sa partenaire Joséphine Japy, aucune des deux toutefois ne l’a remporté.
C’est désormais dans l’univers très intellectuel des échecs, que Lou De Laâge est de retour. Cette dernière a fait du chemin depuis 2009 notamment, lorsqu’elle figurait dans une publicité Bourgeois :